Acrylique sur toile, 80 x 100. 2016
Comme
dans le tableau de Heinrich Vogeler, j’ai ôté le côté préraphaélite et comme le
disait si bien Arthur Keelt, (alias Jean-Bernard Pouy) dans son livre, Le Merle :
« Ça
m’énerve vraiment. Comment peut-on être préraphaélite trois siècles après
Raphaël ? A la limite, postraphaélien, d’accord (p. 29)
Le
personnage ne regarde pas le merle, il regarde par-dessus ou au-delà... et c’est
ce qui est intéressant !




